Invité
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| nom : Malone prénom(s) : Leonna âge : 26 ans lieu de naissance : Inverness origines : Écossaise travail : Vagabonde orientation sexuelle : Hétérosexuel statut : Célibataire groupe : Solitaire rang dans la meute : Soumise forme animale : Tigre blanc don spécifique : Guérisseuse physique
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Débrouillarde → Nos limites ne sont, bien souvent, existantes que par notre seule propre volonté. Le dicton " Il ne savait pas que c'était possible, alors il l'a fait ", lui va comme un gant. Être débrouillarde, au fond, c'est ça. Savoir vivre d'un rien tout en étant capable de réaliser tout ce que l'on souhaite. Traverser tout le pays avec un sac à dot, sans argent, c'est possible, oui. Leonna est bricoleuse, astucieuse et maligne, avec ça, seul l'esprit peut parvenir à la limiter. Véritable → Il y a ceux qui ont ce besoin viscéral de se faire entendre, de se faire respecter. Certainement pour ne pas ce laisser dépasser et perdre le contrôle vous direz-t'elle. Ou il y a ceux qui se réfèrent au silence, à la discrétion, les timides dira-t-on. Ça arrive quand on laisse la peur nous paralyser, nous effacer. Et... il y a les autres, les doux, les naturels et les fous. Ceux qui ne cherchent ni à plaire, ni même à déplaire, seulement à laisser briller leurs propres lumières sans chercher nul autre but que celui d'être eux-mêmes. Leonna fait partie de ces derniers. Elle est celle qui ne jugera point, qui n’aura aucune peur à s'afficher tel qu'elle est vraiment. Enfant, femme, joueuse, triste, peu importe, car une personne, finalement, n'est rien d'autre qu'une réaction à son environnement direct. Équilibrée → Aux yeux de Leona, deux forces cousines se différencient dans le monde. L'amour et la peur. La première représente la lumière blanche, celle qui guérit, celle qui nous fait du bien. Et la seconde la lumière noire, celle qui nous empêche de nous accomplir et nous plonge parfois dans la haine. Cependant, Leona sait que l'une ne fonctionne pas sans l'autre. Mais elle choisit de se servir de la peur pour apprendre de ses erreurs afin de grandir, chaque jour pour se porter vers l'amour. Elle pourra donc avoir des discours rasoirs parfois. Mais à bien y réfléchir, le fond de ses monologues interminable aura souvent une voie juste, comme une main tendue, amicale qui serra prête à vous aider corps et âme. Croyante → Vous l'aurez compris, Leona fait partie de ceux qui ont la foi. Pas par une quelconque icône, ni même la moindre religion. Leonna croit en la vie, en la puissance de l'équilibre de la nature. Elle croit en la justesse des choses et du destin. Elle marche souvent en zone dangereuse sans trembler, par-ce que son instinct l'a menée là et elle y croit. Dur comme fer. Elle se dit que si elle est ici, maintenant, c'est soit pour apprendre une nouvelle leçon par l'épreuve, soit pour continuer sans mal son chemin. Elle accepte. Elle est ainsi, à l'image de son tigre blanc qui flâne, tel le roi, incapable d'imaginer le moindre danger susceptible de froisser sa belle fourrure. La force de la chance ? La force du tigre ? Du destin ? Ou juste l'écoute extrême de son soit intérieur...? Tel est la question, mais ça fonctionne. Sensible → Impossible de vivre avec pareil philosophie sans être constamment confronté à tous ceux qui ne partagent pas cette vision du monde. Il est donc parfois tentant de s'isoler et de vivre comme on l'entend, loin des autres et de leurs jugements. Mais Leonna a décidée de vivre comme elle le voulait, point final. Ça la place souvent en première ligne des critiques et de la jalousie, ce qui fait qu'elle est parfois un peu fragile. Pour couronner le tout, sa haute empathie la fait parfois également souffrir. Quand on prêche la paix, il est toujours un peu inacceptable de voir la haine faire son beurre aux yeux et nez de tous. C'est une philosophie de vie, un combat quotidien qui peut sensibiliser la corde de la patience et du bonheur.
l'animal & toi : Elles sont sœurs, complètement complémentaire. Elles n'ont plus besoin de se concerter, quand l'une agis, l'autre agis de concert aussi. Elles sont deux entités en une seule. Elles ne font qu'un. Si bien qu'il serait extrêmement difficile de les différencier si elles n'avaient pas une forme physique foncièrement différente. Il est rare qu'elles communiquent ensemble, elles se comprennent si bien qu'elles n'en ont simplement plus besoin. Elles portent un regard compréhensif et identitaire à chacun des gestes de l'une ou de l'autre. C'est une sorte de méli-mélo simple et extrêmement difficile à comprendre en même temps. Pour faire simple, Leona est la tigresse et la tigresse est Leona, elle ne se démarque plus comme à part entière. La femme et l'animal ne sont qu'un. pourquoi es-tu un solitaire ? : Appartenir à un groupe requiert certains sacrifices, comme l'application de certaines règles de décence et de logique essentiel à la vie en communauté. Certains choix de vie de Leona ne pourraient concorder à ce type de vie. Étant débrouillardes - très débrouillarde - elles ne ressentent pas le besoin d'obtenir un quelconque confort ou le spectre d'une incontestable sécurité lié à la force du groupe. C'est donc avec une logique implacable que la vie a faite d'elles des solitaires qui le vivent plutôt bien. Et en partant du principe que rien n'est inerte et que tout peut changer, je dirais qu'il n'est pas impossible qu'elles rejoignent un groupe un jour, mais il faudra une excellente raison à cela. Car quand on a goutté à l'ultime liberté, il est difficile d'imaginer de tourner le dos à tout ça. Question de confort... justement. ce que tu penses des deux meutes : Les soucies des autres ne les intéressent pas vraiment. Je n’irais pas jusqu’à dire qu'elles s'en battent le haricot. Mais perdre leurs temps à s'occuper des petites histoires des autres n'est pas dans leurs habitudes. Pas non plus insensible, elles ne sont pas totalement hermétiques aux péripéties de leurs compères métamorphes, mais si elles venaient à s’investir dans une de leurs actions, elles auraient forcément une excellente raison, surement vitale. le don & toi : Chaque blessure à une signification à leurs yeux, les maux du corps reflètent les maux psychiques. Soigner les blessures de la chaire ne soigne donc pas complètement et profondément la personne. Mais c'est ce don-là qu'elles ont reçu. Un simple contacte avec la blessure, allié à l'intention de soigner et les chaires se referment déjà. Mais la loi de la nature implique que rien ne bouge sans énergie, soigner une blessure en coûte donc une certaine quantité car cela implique d'accélérer la régénération cellulaire des tissues. Elles ne peuvent donc pas guérir une grosse blessure sans s'exténuer dans l'affaire. Elles usent donc de ce don avec parcimonie et sagesse. Soigner une maladie grave, par exemple, peut devenir périlleux, car on ne sait jamais vraiment à quel point la victime est touchée et une fois lancée, les soins ne peuvent plus s’arrêter, ou alors très difficilement. Un don pratique donc, mais dangereux pour elles. ton âme-sœur & toi : Quand on vit comme elles vivent, on comprend vite qu'elles sont très bien ainsi, seules et complémentaires entre elles deux. Elles associent souvent le besoin d'aimer comme celui d'être aimée. Un besoin de combler le vide d'amour que beaucoup ne se portent pas à soi-même. De leur côté, elles s'aiment elles-mêmes comme elles sont et ne ressentent pas le besoin de combler le moindre vide. L'amour donc n'est pas vraiment dans leurs objectifs communs. L'appel de la chair non plus. Elles ne ressentent pas cet instinct qui concerne pourtant tant de gens, mais elles y pensent tout de même de temps en temps, juste suffisamment pour se demander comment serraient leurs vies si elles étaient imprégnées. Serrait-elle mieux ou plus contraignante? Il y a donc une sorte de peur alliée à de la curiosité sur ce sujet. Mais pour le moment, elles préfèrent ne pas trop y penser et vivre, vivre encore et encore comme elles l'entendent. Si ça devait arriver, elles aviseraient sur l'instant T, inutile donc de faire la moindre supposition, ça trouble bien trop l'esprit et laisse trop de place à la peur et aux doutes. Qui vivra verra.
Il y a quelque chose d'imprenable dans l'instant présent. Cette manière de le savourer, ce silence qu'il provoque souvent. Il fait décupler naturellement tous nos instincts, le moindre mouvement de vent, même lointain prend, avec lui, des allures poétiques et insondables. Il a aussi le bénéfice de n'avoir pas vraiment besoin de quoi que ce soit pour exister. Il est juste là, grandiose et subtil à la fois. Ouvert aux seuls esprits capable de le déceler. Pas besoin de souvenirs pour savourer l'instant présent. Il suffit juste d'être là, avec lui.
" Hé toi ! Là-haut ! Descends de là ! Tu n'as rien à faire ici !! " Mais l'instant présent est fugace et fragile, juste suffisamment existant pour te faire oublier qui tu es, où tu vas et surtout... où tu es. Frustrée, je détourne mes yeux du ciel rendu rougeoyant en cette heure tardive pour les poser sur la raison de ce brusque retour à la réalité. C'est toujours un instant présent me diriez-vous et vous auriez raison. Seulement, celui-ci se connecte inévitablement à mon passé et mon futur. Ce qui n'est donc plus vraiment de l'instant présent, si ? Mon passé puisque je dois soudainement faire avec ma condition de Métamorphe et de ma vie en général et mon futur car on n'est jamais à un endroit pour rien. Du moins je l'espère. Vous me suivez j'espère ? Tans mieux, par-ce que l'instant présent, c'est le seul truc encore explicable dans ma vie. Mon passé, mon futur... c'est un assuré bordel sans nom.
Techniquement, j'ai 26 ans - c'est ce qu'il y a de noté sur mes papiers d'identification - mais en pratique, je n'ai que 112 semaines soit 18980 heures de ma vie dont je sois encore témoin. En effet, ce grand jour qui s'achève sous ce splendide tableau pourpre que j'observais avec émoi il y a de ça quelques secondes, marques le 26ème mois de ma désastreuse amnésie. Alors je vous vois venir, par-ce que oui, absolument TOUT LE MONDE me demande comment j'ai fait ça. Mais -sans ironie sadique de ma part ni la moindre pensée dégradante en votre égard - j'ai l'honneur de vous annoncer que le principe même d'une amnésie, c'est justement de ne se souvenir de rien. Pas de ça en tout cas. Je n'ai pas oublié comment parler ou râler, je n'ai pas oublié comment marcher ni même écrire, non, moi j'ai oublié les gens. Tous les gens. Il y a donc 26 mois, je me suis retrouvée seule. Totalement seule. À l'exception de mon double animal. Car j'ai au moin le bénéfice de n'être jamais vraiment seule.
" Hey ! T'es sourdes ou quoi ?! Descends de là où j'appelle la sécurité ! " Quoiqu'on est jamais vraiment seul... Même si c'est parfois notre désir la plus chère. En soupirant lourdement de manière à bien authentifier le haut degré de mon agacement, je me laissa tomber du conteneur pour me réceptionner avec souplesse sur le tarmac encore mouillé de cette après-midi. Je sais que la petite cascade que je viens de faire m'a potentiellement mise en danger, car la hauteur de mon saut indique clairement que je suis une Métamorphe. Ou alors une humaine droguée et/ou suicidaire, vous avez le choix de l'étiquette. Mais en réalité, je n'en ai cure. Car dans quelques heures, je ne serrais déjà plus là. Je serrais ailleurs, partout ailleurs, peut m'importe. Là où le vent me portera comme on dit.
Reste la question de mon futur. Elle est bonne, je trouve, et compliqué. N'ayant pas grand de mon passé, il m'est difficile de me projeter, de me construire. J'ai comme qui dirait on ne peut plus conscience de la valeur fluette de la vie qu'on essaye de se bâtir. Tout peut disparaître, en un claquement de doigt. Du-coup, c'est vrai que j'ai choisi une vie plutôt spéciale, faite de... moment présent.
Chez moi, pas d'appartement, pas de frigo, pas de douche non plus. Juste un sac sur mon épaule et beaucoup, non ÉNORMÉMENT, de débrouille. Juste... une destination. C'est ça mon futur, un père Métamorphe malade, en fin de vie qui m'attend à Inverness. Le reste s’écrira peut-être ensuite. Si j'arrive à temps...
Le temps... Drôle de mesure quand on y pense, non ? Mais c'est tout ce que l'on a, en vérité. Le temps. Et moi je choisis l'instant présent, vous l’aurez compris. C'est ainsi. La vie m'a voulu comme ça et j'espère que vous saurez l'apprécier autant que moi.
| pseudo : Rav âge : 26 ans comment as-tu connu le forum : Sur une pub de facebook il me semble. présence : Très, très, trèèèèèèèèès aléatoire crédit des images de ta fiche : Heu.... tumblr en grande partie - j'ai pas gardée les liens, me fouettez pas - un dernier petit mot : J'aime Jack Sparrow ! - bah koua ? - ton personnage est-il un scénario : non - Code:
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→ [i]Mila Kunis[/i] - @"Leonna Malone" |
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| Merci à vous deux Youps.... erreur de ma part, je n'avait pas fait attention. I'm sorry Sam Donovan. J'ai modifiée ça, - j'hésitais entre Sam et Leonna, ça règle mon problème x'D - merci ! Héhéhéhé... Grand mystère pour moi aussi, je ne me suis pas encore totalement décidée Mais ça serra une bête à poils. Suite au prochaine épisode ce soir. ( normalement )
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| Rolalala, cet accueil ! Merci ! J'ai une pression de ouf maintenant, j'espère ne pas vous décevoir Lennox: La Légende de Molly Malone, la plus belle femme de Dublin <- Je trouve, au contraire que ça m’irait bien, nan ? ( Et ne dit SURTOUT PAS non ) A moins que tu ne fasse allusion à SamMolly, je te demande ça pour saisir ton humour - histoire d'être fixée -
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